Las exportaciones españolas

Desde inicios de la actual crisis económica en 2008, la economía española ha experimentado una significativa expansión de sus exportaciones al tiempo que ha reducido con mayor intensidad las importaciones. El resultado ha sido una disminución del tradicional déficit comercial español.

Entre enero y julio de 2013, el crecimiento de las ventas exteriores fue de un 8%. Esta expansión se debe, en primer lugar, a un aumento del número de empresas que exportan. En total son un 9,5% más; y, un 6,7% lo hacen de manera regular. Esta mayor presencia de las empresas españolas en el exterior se debe en mayor medida al crecimiento de la economía internacional que al declive de la nacional. Durante los años 2009-2011, de menor crecimiento internacional, se contrajo el número de empresas internacionalizadas.

En segundo lugar, la contracción salarial y de costes ha mejorado la competitividad precio de los productos españoles en los mercados internacionales. También ha contribuido a ello la mejora de la productividad, especialmente la productividad aparente del trabajo.

En tercer lugar, han crecido de un modo significativo los mercados emergentes. El crecimiento económico de estos países, ha sido aprovechado por una parte de las empresas españolas, favoreciendo así una ligera reorientación geográfica de las exportaciones españolas.

Gracias a todo ello, si el año pasado el déficit comercial fue del 3% del PIB, este año podría llegar al 1%. Un dato muy lejano del 10% de déficit de los años de expansión.

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Prácticas empresariales e inserción en el mercado de trabajo francés

PRACTICAS EMPRESARIALES E INSERCIÓN EN EL MERCADO DE TRABAJO

Según una encuesta llevada a cabo por el CEREQ, algunas de las prácticas que los estudiantes de la enseñanza superior francesa llevan a cabo tienen un alto contenido formativo, además de ser gratificantes. Son prácticas que, en general, aumentan la probabilidad de encontrar un empleo en la misma empresa en la que se han llevado a cabo.

En algunos casos, las prácticas llegan a considerarse una experiencia profesional, teniendo una incidencia positiva sobre la evolución profesional y salarial. En ocasiones, son un determinante importante de la inserción profesional de los estudiantes.

Pero éstas no son el único tipo de prácticas que pueden extraerse a partir de la experiencias de los estudiantes francés que ha sintetizado el Estudio del Centro de estudios e investigación sobre las cualificaciones (CEREQ).

Cuatro son los tipos de prácticas a las que están confrontados los estudiantes franceses. Las más gratificantes, se caracterizan por una aplicación de los conocimientos y habilidades adquiridas durante la formación, así como por una estrecha relación con el tutor de la empresa. Esta relación suele prolongarse más allá del periodo de prácticas. La retribución también suele ser más elevada (igual o superior a 250€ por mes). Se trata en muchos casos de prácticas obligatorias dentro de los planes de estudios. Suelen representar el 42% de las prácticas llevadas a cabo.

El segundo tipo de prácticas representan el 10% del total. Los contactos con el tutor son menos frecuentes que en el caso anterior, sin llegar a una situación de total aislamiento. Si las anteriores están presentes en las Escuelas de Negocios, las Ingenierías y los Masters en general, este segundo tipo de prácticas es propio de los estudios de Administración de empresa y de Economía.

El tercer tipo los constituyen las prácticas con una duración inferior a los tres meses. Las llevan a cabo los estudiantes de los primeros años universitarios. Representa el 35 % del total y son poco gratificantes. El 13% restante se caracteriza por la escasa o nula relación con la titulación estudiada.

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Les entreprises exportatrices belges

 

Cette note reprend le contenu du travail de Dhyne et Duprez pour présenter les caractéristiques des firmes exportatrices belges.

Les entreprises belges en 2005

En 2005, parmi les 309 550 entreprises (hors banques et compagnies d’assurance) ayant déposé leurs comptes annuels auprès de la Centrale des bilans, 90 % étaient actives uniquement sur les marché belge et ne faisaient pas partie d’un groupe international, 6 % étaient soit importatrice soit exportatrices (one-way traders) ; 3 % étaiente à la fois exportatrices et importatrices (two-way traders) ; enfin, 1 % d’entre elles faisaient partie d’un groupe international, soit comme filiale d’une société étrangère, soit comme maison mère d’une multinational belge.

Le nombre de multinationales actives en Belgique est donc relativement limité : 1% du total d’entreprises (hors banques et compagnies d’assurance). Ces entreprises représentent cependant près de 45 % de la valeur ajoutée et 36 % des emplois dans le secteur privé (hors banques et compagnies d’assurances). Elles s’arrogent `elles seules près de 73 % des exportations et des importations de biens et des services.

Entreprises multinationales belges

Variable %
Poids

1

Valeurs ajoutée

45

Emplois

36

Commerce extérieur (exportations + importations)

73

Source : à partir de (Dhyne & Duprez, 2013)

 

A peine 10 % des entreprises belges sont actives sur les marchés internationaux. Mais, elles génèrent 75 % de la valeur ajoutée et 70 % des emplois dans le secteur privé. Ces entreprises exportatrices et/ou importatrices sont des sociétés de grande taille, ayant une productivité plus importante et de meilleures perspectives de croissance à long terme que les entreprises purement domestiques. Près d’un tiers des entreprises multinationales avaient effectué, en 2004 ou 2005, un investissement dans des actifs intangibles (R&D, Brevets et licences, marques,…) contre à peine 7 % des entreprises purement domestiques.

Évolution des entreprises sur la période 1995-2011

Au cours de la période 1995-2011, on observe une réduction constante du nombre d’entreprises exportatrices belges, surtout à partir de 2002. Si durant la période 1995-2001, le nombre d’entreprises exportatrices est passé de 8 618 à 10 449, seulement 8 703 sociétés exportaient encore des biens en 2011. Toutefois, cette diminution du nombre de firmes exportatrices ne s’est pas traduite par un recul de nos exportations totales, celles-ci étant principalement le reflet de l’importante augmentation du montant moyen exporté par entreprise.

Il y a cependant de grands mouvements annuels d’entrées et de sorties sur les marchés internationaux. Sur la période 1995-2011, 1 635 entreprises sont, en moyenne, entrées chaque année sur les marchés internationaux, alors que 1 604 en sont sorties. Pour les jeunes exportateurs, il semble qu’il soit difficile de pérenniser des activités au-delà d’un an. En effet, le taux de survie à un an des nouveaux exportateurs sur les marchés internationaux n’est que de 60 %, et il tombe à 23 % à un horizon de cinq ans.

 

 

Produits versus pays

Les entreprises exportent par nature plusieurs produits vers plusieurs marchés. En 1995, l’entreprise exportatrice moyenne exporte 14,2 produits. Ce nombre a augmenté au cours de la période 1995-2011, pour atteindre à la fin 22,1 produits. En 2011, 12 % des entreprises exportatrices ne négociaient qu’un seul produit.

En 2011, la firme exportatrice moyenne desservait 14 destinations différentes, soit quatre de plus qu’en 1995. Seules 10 % des firmes n’étaient actives que dans un pays et 4 % n’étaient exportatrice que d’un seul produit vers une destination unique.

Les exportations belges sont toutefois extrêmement concentrées au sein d’un nombre réduit de très grands exportateurs. Cette concentration s’est accrue au cours des 16 dernières années. 87 entreprises s’arrogeait 50 % des exportations de biens de la Belgique en 2011, alors que 80 % d’entre elles ne représentaient que 10 % du total.

Les exportateurs belges s’adaptent à la concurrence internationale en modifiant régulièrement leur portefeuille des produits sur les différents marchés sur lesquels ils sont actifs. La modification des produits a été spécialement active durant la crise. Ce changement notable dans le portefeuille de produits a principalement concernés les produits chimiques, le matériel électrique et les machines.

Selon Dhyne et Duprez, les évolutions observées semblent indique un repositionnement des entreprises belges dans l’exportation de produit à contenu technologique important ou moyennement important et à destination des marchés émergents. Cependant, d’après sa propre analyse macroéconomique, la diminution du solde commercial est le reflet d’un manque de dynamisme des exportations de bien en valeur de la Belgique.

Les exportations belges se sont inscrites en retrait par rapport à l’expansion annuelle moyenne du marché mondial. Les exportateurs belges s’orientent encore très peu vers les marchés émergents à croissance rapide. Le handicap de la Belgique relève davantage de la destination géographique des exportations que du type de produits exportés.

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Références

Dhyne, E., & Duprez, C. (Juin de 2013). Dynamique structurelle du commerce extérieur de la Belgique. BNB Revue économique, 29-41.

 

 

 

 

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ARWU : Academic Ranking of World Universities

Academic Ranking of World Universities 2012

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Pouvoir d’achat, chômage et inégalités en France

Après une augmentation de +0,1 % au troisième, en France, le revenu disponible brut des ménages baisse de 0,5 % au quatrième trimestre. Le revenu disponible brut ou RDB est une grandeur macro-économique, qui mesure le revenu à disposition des ménages pour consommer et épargner.

Le revenu disponible des ménages

Selon l’INSEE, le revenu disponible d’un ménage comprend les revenus d’activité, les revenus du patrimoine, les transferts en provenance d’autres ménages et les prestations sociales (y compris les pensions de retraite et les indemnités de chômage), nets des impôts directs. Quatre impôts directs sont généralement pris en compte : l’impôt sur le revenu, la taxe d’habitation et les contributions sociales généralisées (CSG) et contribution à la réduction de la dette sociale (CRDS).

Revenu disponible = Revenu primaire – impôts – cotisations sociales + prestations sociales.

Le comportement du revenu disponible est déterminé tout d’abord par celui du revenu primaire. Le revenu primaire (ou les revenus primaires) des ménages est le revenu que les ménages tirent de leur contribution à l’activité économique, soit directement (revenu d’activité salariée ou non salariée), soit indirectement (revenu de placement mobilier ou immobilier). Il n’inclut donc pas les prestations sociales – c’est un revenu avant redistribution. C’est le fruit de la distribution du marché.

Revenu disponible = Salaire + Revenus non salariaux (bénéfices, honoraires …) + Revenus de la propriété (dividendes, Loyer …) – impôts – cotisations sociales + prestations sociales

Salaires, prestations sociales et impôts

D’après l’INSEE, la masse salariale reçue progresse légèrement (+0,3 % après +0,4 %), les prestations sociales restent dynamiques (+0,9 % après +1,0 %). Mais ces effets favorables sont plus que compensés par la forte hausse des impôts sur le revenu et le patrimoine (+7,0 % après +4,0 %). Cette augmentation au second semestre résulte notamment des mesures votées pour rehausser le rendement de l’impôt sur le revenu en 2012, ainsi que par la contribution exceptionnelle pour les redevables de l’ISF en toute fin d’année. De même les cotisations sociales à la charge des salariés accélèrent au quatrième trimestre (+2,0 % après +0,7 %) avec la hausse du taux de cotisation et la suppression des exonérations sur les heures supplémentaires.

La masse salariale est le cumul des rémunérations brutes des salariés de l’établissement (hors cotisations patronales). Les rémunérations correspondent aux salaires et primes des salariés au cours de l’année d’exercice.

Des écarts salariaux

La masse salariale est déterminée par l’évolution des salaires et celle de l’emploi (ou du chômage). En France, les salaires sont en réduction avec la crise économique, surtout pour les déciles inferieurs.

D’après Bertrand Marc, Nathalie Missègue et Laurence Rioux, les écarts de revenu salarial d’un salarié à l’autre sont élevés : en 2009, le quart des personnes aux revenus salariaux les plus hauts perçoivent dix fois plus que le quart de celles qui ont les revenus salariaux les plus faibles. Les différences de durée d’emploi sur l’année expliquent 84 % de ces écarts. Le reste provient des différences de salaire horaire.

Les inégalités de revenu salarial ont diminué entre 1995 et 2009, en raison d’une augmentation des durées d’emploi pour les « bas revenus salariaux » : les 25 % de personnes aux revenus salariaux les plus faibles ont travaillé en moyenne 95 jours (en équivalent-temps plein) en 2009, contre 81 jours en 1995. Les inégalités de salaire horaire ont fluctué avec la conjoncture mais restent tendanciellement stables sur la période 1995-2009.

Source : OCDE (2013), Le chômage s’accroît, dans Études économiques de l’OCDE : France 2013, Éditions OCDE

La faiblesse de certains revenus salariaux tient à des raisons diverses : entrée ou sortie en cours d’année du marché du travail (fin d’études, départ en retraite), cumul d’une activité salariée et d’une activité d’indépendant, perte d’emploi, etc. Pour 20 % des « salariés », c’est-à-dire des personnes ayant touché au moins un salaire dans l’année, les revenus salariaux sont « complétés » par d’autres revenus liés à une activité présente ou passée, comme des allocations chômage, des pensions de retraite ou des revenus d’indépendant.

Pouvoir d’achat, prix et impôts

Par ailleurs, le pouvoir d’achat désigne ce que l’on peut consommer ou épargner avec son revenu. Pour connaître l’évolution du pouvoir d’achat, il faut connaître l’évolution des prix, mais aussi l’évolution des revenus : si les revenus augmentent plus vite que les prix, le pouvoir d’achat augmente.

Les prix de la consommation progressent en outre de 0,3 % au quatrième trimestre (après +0,1 % au trimestre précédent), si bien qu’au total le pouvoir d’achat du revenu des ménages recule de 0,8 % au quatrième trimestre 2012 après avoir stagné à l’été. Sur l’ensemble de l’année, il baisse également : –0,4 % après +0,5 % en 2011, soit le premier recul depuis 1984 (–1,1 %). Mesuré par unité de consommation, ce qui permet de le ramener à un niveau individuel, il se replie de 1,0 % en 2012 (après –0,1 % en 2011). La forte hausse des impôts (+10,0 % après +6,6 % en 2011) est le principal facteur de cette baisse.

Les causes des inégalités

Les inégalités actuelles ne sont pas exclusivement liées à la perte d’emploi, même si celle-ci est une cause majeure. Pour les scientifiques sociales des Etats-Unis, la résurgence des inégalités est provoquée par un progrès technique biaisé. Les technologies de l’information et de la communication seraient complémentaires des salariés qualifiés, en augmentant leur productivité, et substituables aux salariés peu qualifiés, en les remplaçant. Le faible coût et la forte expansion de ces technologies bouleverseraient le marché de l’emploi par une réduction du nombre d’emplois peu qualifiés et des salaires concernés. La qualification technologique des emplois conduirait à une augmentation de la productivité. Un constat appuie cette explication : les différentiels de rémunération entre salariés qualifiés et non qualifiés s’accroissent conjointement avec la proportion de salariés qualifiés au sein même des différents secteurs d’activités.

Les inégalités en Europe

Par contre, en Europe, jusqu’au début des années 1990, les inégalités ne seraient pas liées aux changements technologiques, mais au changement structurel. L’afflux croissant de diplômés était absorbé non pas par une augmentation du recours aux diplômés au sein des différents secteurs de l’économie, mais bien plutôt par une redistribution progressive de l’emploi et de l’activité de l’industrie lourde (où les emplois non qualifiés seraient nombreux) vers les services et le tertiaire (plutôt plus qualifiés). Beaucoup plus que d’un chômage technologique, les personnes peu qualifiées ont alors souffert de la désindustrialisation du pays et des destructions massives d’emplois dans les industries où les non-qualifiés sont proportionnellement plus nombreux.

Selon cette thèse, à partir des années 1990, l’Europe connaitrait une double source des inégalités. Au chômage massif de la désindustrialisation s’ajouterait, comme aux États-Unis, un surcroît du chômage et une diminution des salaires par des causes technologiques.

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Enseignement supérieur : diversification des étudiants, des établissements et des parcours de formation

Sous l’effet d’une augmentation des aspirations scolaires des étudiants et de leur famille et des politiques éducatives, une proportion croissante des membres d’une classe d’âge se rend dans l’enseignement tertiaire. On parle de massification du supérieur ou de démocratisation quantitative de l’enseignement postsecondaire.

Cette massification a conduit, sur le plan qualitatif, à une recomposition des publics et des collectifs d’étudiants qui se traduit par la présence plus grande d’étudiants provenant de catégories sociales précédemment exclues ou qui avaient un accès limité. Egalement, cette recomposition se manifeste sous la forme d’une large variété de parcours pour les étudiants qui s’éloignent du model traditionnel.

En plus de la diversification des étudiants, l’expansion de l’enseignement tertiaire a été accompagnée d’une complexification institutionnelle. L’université n’est plus l’institution reine (avec des variantes selon les systèmes nationaux) de l’enseignement postsecondaire. Les politiques éducatives ont conduit au renforcement ou à la création de nouvelles institutions comme les collèges communautaires (Canada et États-Unis), les collèges d’enseignement général et professionnel (au Québec), les collèges universitaires (Californie, Colombie-Britannique), les Hautes Écoles professionnelles (Suisse) ou les Instituts universitaires de technologie (France).

Au sein même des différents établissements, de nouveaux programmes ou de nouveaux champs d’études ont été créés. Interdisciplinaires, orientés sur un thème de recherche ou une sphère d’activité, ils visent souvent des objectifs professionnels très marqués. Une diversification des cursus qui a amené, dans certains pays, a de nouvelles articulations entre la formation professionnelle et technique et l’enseignement universitaire. Ce décloisonnement a fait basculé les universités vers des diplômes professionnalisant et aux autres établissements vers une offre des diplômes universitaires.

Pour Maroy et Van Campenhoudt (2010), l’enseignement postsecondaire, spécialement non universitaire, a connu une importante croissance, en recrutant proportionnellement plus parmi les nouveaux étudiants. Il n’y a pas eu élargissement de l’accès à l’université en fonction du capital scolaire des parents. Ils notent même une légère dégradation des chances d’entrée à l’université. En ce sens, la croissance des études a pris la forme d’une démocratisation ségrégative, même si, sauf quelques exceptions, il n’y a pas sélection à l’entrée des études universitaires.

La source des inégalités se trouve plutôt du côté des individus et des familles. Une part tient aux différences de parcours antérieurs au cours du secondaire mais, en même temps, à parcours scolaires antérieurs égaux et à origine sociale constante, des différences d’accès aux études postsecondaires tiennent aux aspirations (Doray et Murdoch, 2010). Ainsi, l’autosélection est un des processus de modulation de l’accès aux études postsecondaires qui conduit les jeunes Belges francophones vers l’enseignement non universitaire. Erlich et Verley (2010 ; 71) constatent que le poids de l’enseignement universitaire dans le postsecondaire français a diminué de manière significative en trente ans.

Une analyse du développement de l’enseignement supérieur et du déplacement des choix d’orientation des jeunes sur une période de dix ans éclaire cette situation. Cette baisse s’explique en grande partie par la hiérarchisation des filières, une professionnalisation des études et une forte sélectivité exercée sur les choix d’orientation. Si les changements apportés au baccalauréat avec la création des baccalauréats technologiques et la rénovation des baccalauréats professionnels ont ouvert l’accès de l’enseignement postsecondaire, les nouveaux bacheliers ont plutôt poursuivi dans l’enseignement technique (Doray et Murdoch, 2010). Ainsi, la démocratisation a-t-elle été ségrégative, comme dans d’autres pays, notamment en Belgique.

La diversification de l’accès s’est aussi produite à un moment de recomposition des filières de l’enseignement supérieur sous l’impulsion du processus de Bologne, mais aussi par le déploiement de stratégies des universités pour faire face à la diminution de leurs effectifs. Elles ont multiplié les filières professionnalisantes, en croissance d’effectifs, alors que les filières traditionnelles dites généralistes connaissent une désaffection étudiante.

En somme, l’espace postsecondaire est segmenté et hiérarchisé par le tri social des étudiants entre un secteur ouvert (non sélectif) et un secteur fermé ou sélectif. La nature des niveaux d’exigence intellectuelle, des modes de travail, de l’emploi du temps d’études et l’engagement des jeunes dans leurs études contribuent à la segmentation. La valeur des diplômes obtenus est très différenciée sur le marché du travail.

 

Pour en savoir plus :

« Nouveaux étudiants, nouveaux parcours ? », Education et sociétés, 2010, nº 26, http://www.cairn.info/revue-education-et-societes-2010-2.htm

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Alerte : la situation des banques espagnoles est encore plus grave qu’il n’y paraît pour la zone euro

L’Espagne a connu une période de forte croissance économique presque exclusivement fondée sur le secteur de la construction. L’éclatement de la bulle immobilière a, certes, mis un terme à l’expansion, mais a également signifié bon nombre de problèmes autres qu’une simple récession. De graves problèmes. Le surendettement des ménages, des entreprises et des banques. En effet, pour financer le boom de la construction, les banques espagnoles se sont endettées à l’extérieur. Le surendettement des familles et des promoteurs a généré un vaste portefeuille de biens immobiliers invendus. Ces invendus sont entre les mains des banques et portés à leur bilan. Cette situation a entraîné la crise d’une partie du système financier espagnol, une crise que l’aide européenne a tenté d’assainir avec le Protocole d’accord entre le Royaume d’Espagne et l’Eurogroupe. Selon le Financial Times, Bankia, qui va publier ses résultats annuels fin février, devrait afficher une perte record de 19 milliards d’euros. Ses difficultés financières, avaient poussé l’Etat espagnol à demander une aide européenne pour ses banques.

Quelles mesures le gouvernement espagnol a-t-il prises en vue de résoudre le problème des invendus portés aux bilans des banques ? Il a décidé de créer une mauvaise banque (bad bank) qui se charge des actifs toxiques et d’assainir ainsi le reste du système financier. C’est un peu comme si l’on retirait d’un panier de pommes celles qui sont pourries avec l’espoir que les pommes restantes ne se gâteront pas. Les pommes pourries des banques, ce sont les actifs toxiques, qui ont été transférés à la Sareb, Société de Gestion des Actifs Provenant de la Restructuration Bancaire (Sociedad de Gestión de Activos Procedentes de la Reestructuración Bancaria, S. A.). Cette mauvaise banque est constituée à 45 % de capital public et à 55 % de capital privé. Ce dernier émane essentiellement des banques, des compagnies d’assurance et de certaines entreprises. Le gros des actifs de la Sareb, environ 40 milliards d’euros, provient des banques dans lesquelles l’Etat espagnol est intervenu : Bankia, Catalunya Bank, Novagalicia et Banco de Valencia.

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Dimensión económica del español: innovando en el mundo de los negocios

Matilde Alonso Pérez y Elíes Furió Blasco (coordinadores),

INNOVANDO EN EL MUNDO DE LOS NEGOCIOS. LA DIMENSIÓN ECONÓMICA DEL ESPAÑOL

Septem Ediciones

 

Sinopsis

De un modo similar, el español, la lengua española, reviste las características propias de un recurso cuya valorización económica depende de cómo se articulen en torno a él un conjunto de variables tecnológicas, sociales y económicas. Por ello, desde hace algún tiempo se viene hablando del español como recurso económico o de la dimensión económica del español. La naturaleza de la lengua, en general, y del español, en particular, como recurso económico manifiesta unas especificidades que pueden otorgarle un papel importante en los procesos económicos. El primero y más conocido, es la contribución económica por medio de lo que se viene denominando la industria de la lengua. Dentro de ésta, dos componentes importantes son la industria editorial y las actividades de formación y enseñanza del español o a través del español. El segundo papel, menos conocido e igualmente importante, es el de ser una lengua de comunicación en el mundo de los negocios a nivel internacional. Se trata de un papel que puede ser clave en los procesos de Internacionalización de las empresas. Y, la internacionalización en el estado actual de los negocios y del mundo, adquiere cada vez más la naturaleza de imprescindible para muchas organizaciones empresariales o no. La entrada en nuevos países es siempre una fuente de oportunidades y de incertidumbres, al tiempo que obliga a las organizaciones a desarrollar sus capacidades y recursos.

(EBOOK) INNOVANDO EN EL MUNDO DE LOS NEGOCIOS

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Timothy Geithner y el fin de la política macroeconómica

Elies Furió

Artículo publicado en Suite101.net el 05/06/2011

A tenor de la situación fiscal y monetaria de EEUU, parece desprenderse que las posibilidades de una política macroeconómica expansiva son mínimas.

Recientemente, Timothy Geithner, el secretario de Estado del Tesoro de Obama, reconoció que durante el primer semestre de 2011 la economía de Estados Unidos tuvo un crecimiento cercano al 2%. Una tasa inferior a la que habían pronosticado los analistas.

Las dificultades de la política fiscal

El 24 de junio, en el Dartmouth College de Hanover, New Hampshire, Timothy Geithner también reconoció las dificultades que tendrán los Estados Unidos para utilizar la política fiscal como instrumento para relanzar la económica del país. El alto nivel del déficit y de la deuda públicos dificulta las posibilidades de llevar a cabo una política fiscal expansiva. Para el Secretario del Tesoro, el margen de maniobra para tal política fiscal depende del peso global de la deuda pública.

Unas declaraciones que tienen como telón de fondo las disputas entre los congresista a favor o en contra de reducir el déficit público. Un enfrentamiento cuyos contrincantes no se dividen en términos de pertenencia partidista. En el bando de quienes abogan por una significativa reducción del déficit se encuentran tanto republicanos como demócratas.

Durante su conferencia en la Universidad de Dartmouth, el Secretario del Tesoro estadounidense afirmó que “el objetivo fundamental es adaptar el nivel de vida del país a sus verdaderas posibilidades económicas”. Lo cual significa, en sus propias palabras, reducir el déficit público del actual nivel del 10% del PIB hasta un 3%, un nivel éste de referencia que debería mantenerse a medio plazo. Con lo cual es difícil esperar que el presupuesto federal contribuya a la expansión económica.

El déficit y el carácter de la política macroeconómica

En macroeconomía, el déficit público suele ser un cómodo indicador del papel de la política fiscal como mecanismo de estabilización. Un aumento del gasto público o una reducción de impuestos contribuyen a elevar el PIB, mientras una reducción del primero y un aumento de los segundos conducen a un menor crecimiento económico.

Generalmente, las políticas de estabilización que llevan a cabo los Estados son una combinación de políticas fiscales y de políticas monetarias. A tenor de las declaración del responsable del Tesoro, las autoridades federales estadounidenses estarían reconociendo que el margen de maniobra de la política presupuestaria es estrecho o que, incluso, puede darse la circunstancia que el presupuesto merme el crecimiento de su economía.

Este reconocimiento debería preocupar a los estadounidenses y de paso a los ciudadanos de otros países, dado el carácter de los Estados Unidos de primera economía mundial. Aunque también habrá quien se sienta reconfortado con el pensamiento de que todavía queda la política monetaria para tratar de llevar a cabo una gestión del ciclo económico.

Los límites de la política monetaria

Pero la política monetaria no es infalible. Si es razonable pensar que la política fiscal tiene límites, por ejemplo, existe un techo a la recaudación de impuestos; también es lógico pensar lo mismo de la política monetaria. Pero esta vez en términos de suelo. Simple y llanamente la Reserva Federal no puede fijar un tipo de interés nominal por debajo de cero.

La actual estrategia de la Reserva Federal es mantener de modo prolongado los tipos de interés dentro de un rango entre el 0% y 0,25%. En consecuencia, el margen de maniobra para operar reducciones en los tipos de interés nominales es muy limitado, cuando no inexistente.

También en cierto que alguien puede decir que quedan, no obstante, los tipos de interés reales.

Tipos de interés e inflación

Los tipos de interés reales resultan de la diferencia entre los tipos nominales y la inflación. En este caso, cabría la posibilidad de que el aumento de los precios redujese el coste del dinero y, con ello, favoreciese una recuperación de la demanda de consumo e inversión.

Sin embargo, existen varios inconvenientes que llevan a pensar que es difícil que esa posibilidad se materialice, al menos con la magnitud que sería necesaria para favorecer la recuperación.

En primer lugar, la economía estadounidense es una economía endeudada y las consecuencias de una caída en el tipo de interés real sobre el crecimiento económico están condicionadas por el grado de endeudamiento. Es cierto que tendría un efecto favorable sobre el mismo.

En segundo lugar, el desempleo estadounidense no acaba de reducirse significativamente. El nivel de paro del 9,1%, tampoco contribuye a animar las expectativas a favor de un mayor consumo y una demanda de crédito.

Cabe pues la posibilidad de vivir una especie de trampa de la liquidez. Una situación en la que la caída de los tipos de interés no se traslade a una mayor demanda de consumo y de inversión.

En definitiva, parece ser que las preocupaciones macroeconómicas no están únicamente en esta parte del Atlántico. Eso sí de cumplirse estos pronósticos, el Tesoro de Estados Unidos se vería beneficiado por una caída de la carga real de la deuda gracias a la disminución del tipo de interés real.

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Comportamiento animal y tipos de aprendizaje

L. Coge & E. Furio

Un número elevado de comportamiento requiere un aprendizaje, un proceso en el cual las repuestas del organismo se modifican como resultado de la experiencia. En algunos casos, como el de los insectos de vida breve para aprender, los animales tienen un comportamiento estereotipado. En cambio, en organismos con un cerebro más complejo y lapso de vida más prolongado, como los primates, una gran proporción del repertorio de comportamiento depende fundamentalmente de la experiencia previa del individuo. No obstante, existen excepciones, en particular, el caso de los insectos sociales como las abejas, que son capaces de aprender y retener información en la memoria por grandes períodos.

En general podemos diferenciar los siguientes tipos de aprendizaje (Curtis & Barnes, 2007):

  • Aprendizaje por habituación
  • Aprendizaje por asociación
  • Aprendizaje por impronta
  • Aprendizaje social

Aprendizaje por habituación

La habituación es una de las formas más simples de aprendizaje. Gracias a ella, un animal aprender a ignorar un estímulo repetido. Por ejemplo, una paloma recién llegada a un plaza se asustará las primeras veces que un automóvil frene bruscamente cerca de ella, pero con el tiempo, aprenderá a ignorar los ruidos. En la habituación, un organismo reduce o suprime la respuesta a un estímulo persistente. No se trata de fatiga muscular, sino del resultado de un proceso de aprendizaje.

La habituación también es diferente de la adaptación social en la que la repuesta disminuye sólo en forma temporal frente al estímulo. Por ejemplo, los receptores gustativos de una mosca se adaptan a la presencia de moléculas de azúcar y suprimen su actividad aunque estén sumergidos en una solución azucarada que los estimula permanentemente.

La habituación tiene un significado adaptativo importante. Ciertas respuestas que, en un principio son útiles, dejan de serlo y comienzan a representar un consumo superfluo de tiempo y energía.

Aprendizaje por asociación

La asociación consiste en que un estímulo llega a conectarse, por medio de la experiencia, con otro estímulo en principio no relacionado. Por ejemplo, los peces se aproximan a la esquina del acuario cuando se acerca la persona que suela arrojar comida en ese sitio y los perros se excitan al ver su correa porque la asociación con el paseo. Se trata de un tipo de aprendizaje más complejo que la habituación.

Existen diferentes tipos de condicionamiento:

  • Condicionamiento clásico
  • Condicionamiento operante

Condicionamiento clásico

Los primeros estudios sobre aprendizaje asociativo los realizó el fisiólogo ruso Iván P. Pavlov en la década de 1920. En sus experimentos de condicionamiento clásico, Pavlov ofrecía cada día a un perro hambriento un trozo de carne. Previamente hacía sonar unas campanas que anunciaban el momento de la comida. El perro pronto asoció ambos estímulos, el alimento y el sonido que lo anunciaba, y comenzó a responder salivando ante el sonido de la campana, aun en ausencia de carne.

Pavlov acuño los términos de estímulo incondicionado –la carne que produce la salivación- y estímulo incondicionado –el sonido de la campana que normalmente no produce salivación, sólo lo hace una vez que el animal lo asocia con el alimento-.Cuando un animal aprende a relacionar ambos estímulos, presentados en forma repetida y en el mismo orden, produce una respuesta, que se denomina respuesta condicionada, frente al estímulo condicionado.

Condicionamiento operante

El condicionamiento operante, también llamado “aprendizaje por ensayo y error”, tiene lugar cuando un animal asocia una actividad particular con un castigo o un premio. Por ejemplo, una rata colocada en un recinto, después de explorarlo, eventualmente encuentra y presiona, por azar, una palanca, lo cual provoca la liberación de una pelotita de alimento. Luego de consumirla, la rata continúa la exploración más rápido y presiona de nuevo la palanca. La rata aprende a asociar un comportamiento particular con la recepción de comida.

Es posible diferenciar distintos tipos de condicionamiento operante. En particular,

  1. Reforzamiento: consisten en el aumento de la frecuencia de una conducta, resultante de la adición o retiro de algo como consecuencia de esa conducta. El reforzamiento puede actuar positiva o negativamente
    1. Por ejemplo, si cuando tu perro se sienta y le das comida. Tu perro se sienta cada vez con más frecuencia porque la comida ha funcionado como reforzador. Esto se conoce como reforzamiento positivo porque la adición de algo (comida) aumenta la frecuencia de la conducta (sentarse).
    2. Si, en cambio, el perro tiene miedo de la gente y cuando una persona se le acerca y él ladra agresivamente; y, cuando la persona se aleja, y el perro deja de sentir miedo. Entonces, aprende que ladrando agresivamente puede hacer que la gente que teme se aleje. Esto se conoce como reforzamiento negativo porque el retiro de algo (la gente) aumenta la frecuencia de la conducta (ladrar agresivamente).
  2. Castigo: es la disminución de la frecuencia de una conducta, resultante de la adición o retiro de algo como consecuencia de esa conducta. Aquí también el castigo puede ser positivo o negativo.
    1. Si nuestro perro se acerca a un extraño al que no le gustan los perros, y esta persona le da una patada, entonces, el animal aprende a evitar a las personas. Esto se conoce como castigo positivo porque la adición de algo (la patada) disminuye la frecuencia de la conducta (acercarse a las personas). Este tipo de castigo no es recomendable en el adiestramiento porque tiene consecuencias adversas que implican daño físico y/o emocional del sujeto.
    2. Un caso diferente ocurre si nuestro perro está jugando con nosotros al tira y afloja. Una persona tira del extremo de un trapo, mientras el animal tira del otro extremo. En su entusiasmo por morder el trapo, el perro muerde la mano por lo que se termina el juego y nos alejamos del animal. Entonces el perro aprende a no morderte cuando juegan. Esto se conoce como castigo negativo, porque el retiro o de algo (el juego) disminuye la frecuencia de la conducta (morder tu mano).
  3. Extinción. Es la disminución de la frecuencia de una conducta aprendida, que ocurre cuando dicha conducta no tiene consecuencias. Es decir que dejan de existir las consecuencias que antes reforzaban la conducta.
  4. Discriminación y control por el estímulo. Es el aumento de la frecuencia de una conducta en presencia de un estímulo, pero no en presencia de otros.

Aprendizaje por impronta

K. Lorenz hizo aportaciones importantes en el estudio del desarrollo de las relaciones sociales, especialmente en el fenómeno de impronta o troquelado. La “impronta” es una variedad de aprendizaje a la vez rápido e irreversible, que tiene lugar en ciertos períodos críticos del desarrollo temprano de algunos organismos. Se trata de un aprendizaje de tipo asociativo, pues está íntimamente relacionado con el reconocimiento de los miembros de la propia especie con respecto a los miembros de otras especies y es de importancia vital para el éxito reproductivo final de muchos animales.

Lorenz se centró en el estudio de pautas de conducta animal a lo largo de los procesos filogenéticos, para averiguar cuáles son constantes y cuáles han sufrido una modificación adaptativa. Según Lorenz, existen cuatro grandes instintos en todo animal (incluido el hombre): de nutrición, de reproducción, de fuga y de agresión. Cada uno de estos instintos está integrado por una pluralidad de pulsiones instintivas y se relacionan entre sí en la articulación de la conducta. La situación actual es que cada uno de esos instintos se encuentra en las diversas especies animales y en el hombre viene determinado por la adaptación filogenética.

Aprendizaje social

Se habla de aprendizaje social en aquellos casos en que la presencia de un animal puede influir en forma significativa el conocimiento adquirido por otro animal. Los animales que viven en grupos pueden beneficiarse copiando y reproduciendo comportamientos que otros miembros del grupo adquirieron a través de un proceso de ensayo y error (por ejemplo, aprendizaje de ingesta de alimentos apetitosos sin necesidad de probarlos o de evitación de depredadores sin necesidad de interactuar con ellos).

Una forma más compleja de aprendizaje social es la imitación o aprendizaje imitativo. Éste ocurre cuando un comportamiento novedoso es adquirido por un individuo luego de observar a otro realizar ese comportamiento.

Referencias

Curtis, J. & Barnes, N.S. (2007): Invitación a la Biología, Editorial Médica Panamericana

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